– Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ?
Je m’appelle Gilles Glénat. Je suis marié, père de deux enfants et je vis dans le bassin grenoblois. Je m’exprime principalement dans deux univers spécifiques, les Thrillers
psychologiques et l’Heroic Fantasy.
J’ai toute une équipe dévouée derrière moi sur ce projet de Thriller, « Maeva ». J’ai rédigé le manuscrit, fait la mise en page du texte, et je me chargerai de l’édition/distribution. En plus de mes modifications, le manuscrit a été lu par 3 bêta-lecteurs et corrigé par trois autres personnes, dont une professionnelle. La couverture a été réalisée par un infographiste avec qui je travaille depuis longtemps déjà, en se servant du concept que je souhaitais avec brio, talent et audace.
C’est mon septième roman, mais ce n’est que mon second projet en autoédition.
– Qu’est-ce qui vous a inspiré pour réaliser ce livre ?
Il s’agit du Spin-Off, une histoire parallèle avec des lieux et des personnages communs, d’un de mes précédents ouvrages : « Jusqu’au bout ». Nombreux étaient ceux qui le réclamaient. J’ai pris un plaisir fou à l’élaboration de ce roman.
J’ai commencé à écrire des textes quand je faisais partie, étant jeune, de groupes de musique. En 2013, immobilisé suite à une rupture du tendon d’Achille, je me suis alors essayé à la construction d’une nouvelle avec ma fille. Puis, tandis qu’elle passait naturellement à autre chose, je me suis investi plus à fond dans l’écriture d’un premier roman. Un échec ! Seulement, il ne faut pas s’arrêter à cela. J’ai donc travaillé sur une toute autre histoire et mon premier roman est né : « Un Bleu, un vert ».
Je me suis lancé dans l’élaboration d’un roman fantastique : « Askadynn, Nous frères de l’ombre », son monde, ses provinces, sa carte et ses nombreux personnages.
Après avoir lu presque tout de Karine Giebel, je me suis mis à écrire des Thrillers de types psychologiques avec : « Il ne pouvait en être autrement » pour lequel j’ai trouvé un éditeur auprès de la maison Sydney Laurent. Ils ont ensuite accepté d’éditer le premier et le second tome, la suite d’Askadynn « Eux les Môklowbaures ».
« Jusqu’au bout » a été le cinquième ouvrage, toujours sous la tutelle de la même maison d’édition.
Ensuite, sentant le vent tourner avec cet éditeur, je me suis tourné vers la maison d’édition de l’Arbre Monde pour le sixième : « L’engrenage ». Une maison tournée vers les auteurs, gérée par des auteurs, plus humains, seulement, avec de faibles moyens.
Ne trouvant pas de maison pour le roman suivant, j’ai décidé de m’autoéditer pour Maeva. Pour plein de raisons, je pense avoir engrangé suffisamment d’expérience pour me lancer seul.
– Pouvez-vous nous raconter votre expérience avec Copy-Média ?
J’ai découvert Copy-Média par le biais d’internet en cherchant sur la toile des imprimeurs pour mon projet en solo. J’ai demandé un devis et un humain s’est présenté à moi pour affiner mes choix. Depuis, toute l’équipe, et tout particulièrement Magalie Bonnemazou, s’est montrée avenante, compétente, à l’écoute et à la recherche du meilleur compromis entre mes desiderata et ce qu’il était possible de faire.
Ils ont su répondre favorablement à mes exigences. Abandonné par la maison Sydney Laurent, en faillite, j’ai trouvé auprès de Copy-Média l’interlocuteur idéal pour rééditer mes anciens romans, car je n’avais plus de réassort.
Je ne cherche plus ailleurs, car je suis comblé et fidèle à la fois…