Qui êtes-vous ?
Pour ceux qui ne me connaissent pas encore, je suis Yann Buffat.
Aujourd’hui écrivain. Pourtant après avoir passé ma scolarité au fond de la classe, je n’étais vraiment pas prédestiné à la littérature De plus devenu adulte, je m’étais lancé dans le monde de la nuit en créant un cabaret à Vienne dans l’Isère.
C’est alors qu’est intervenu l’inattendu, la COVID et nous voila tous confinés. Adieu la discothèque. Heureusement pour moi, mon père Robert Buffat, qui avait déjà publié une vingtaine de livres, m’a mis le pied à l’étrier en me proposant de collaborer pour un premier roman. Nous avons alors écrit un premier tome à quatre mains sous le doux nom de « Lola : Loiseau
sans elle ».
Comment s’est passé votre collaboration?
Extrêmement bien. Au départ c’était l’incertitude, mais vite nous avons su trouver nos marques. De plus dès les premières publications les retours ont été plus que favorables. Il faut dire que nous n’avons rien négligé notamment la couverture de qualité. Pour cela il nous fallait une imprimerie de confiance. Malgré que les romans de mon père étaient produit chez « Copy
Média, par méfiance je me suis permis de faire des devis ailleurs et je me suis rendu compte que la qualité était moindre alors que les prix étaient supérieurs. Nous sommes donc restez sur notre première « impression », celle de continuer à faire confiance à Copy Média.
Avez-vous continué d’écrire ?
J’en ai même fait mon métier.
Lola est devenu une trilogie puis une série. Actuellement, non seulement j’ai commencé le cinquième volume, mais parallèlement j’écris un nouveau roman inspiré par des faits que je rencontre journellement…et ce qui me motive c’est non seulement de rencontrer une clientèle satisfaite mais aussi d’avoir un imprimeur de grande qualité, réactif, toujours arrangeant et
cerise sur le gâteau, nos relations sont très sympathiques, humaines, avec Élodie par exemple et non pas des personnes robotisées.