Matthieu, pouvez-vous vous présenter?
Passionné par la Mode depuis mon plus jeune âge, j’ai tout naturellement orienté mes études vers le Stylisme. J’ai poursuivi des études de Design à la Chambre Syndicale de la Couture Parisienne. Auprès de John GALLIANO, J’ai beaucoup appris sur le déroulement d’une collection de haute-couture et donc j’ai continué mes expériences de styliste dans plusieurs Maisons de Couture. J’aimais la Mode car elle favorisait mon épanouissement en révélant ma personnalité légèrement provocatrice mais je ressentais le désir de m’intéresser davantage à la Littérature, ces années passées dans la Mode restaient les meilleures. Demeurant à Saint-Germain-Des-Près au 16, Rue de l’Université dans le septième arrondissement de Paris, j’ai rencontré de nombreux Littéraires et je me sentais relativement prêt à apprécier les pages définitivement noircies de mes écrits. Amateur du jeu d’échecs , je demeure à Monaco en accordant une grande importance au plaisir de la contemplation de mes diverses théories.
Quand et comment êtes-vous venu à l’écriture ?
Je possède une belle et grande bibliothèque à Paris et ressentais la nécessité de la remplir avec de beaux livres dont les écrits pouvaient me ressembler. Et, le désir d’écrire m’a traversé.
Parlez-nous de vos écrits
« Je ressentais une admiration pour les mots, ils s’imposaient.
Parfois, je les inversais. Ils me procurent une énergie organique.
Leurs précisions décrivaient toutes mes inquiétudes.
En suspension, face à des inspirations spontanées, les virgules facilitent la respiration ! Je les introduis, je les déplace pour mieux déployer l’intelligence, et préciser mes pensées.
Je souhaitais les laisser vivre.
Plus j’écris, plus ils me traversent de plaisir.
Ils me préparent à affronter la vie.
Les mots cèdent, ils me révèlent…
Ils suscitent un désordre qui me réjouit. Et moi, je m’en vais ! »
Extrait du Témoignage autobiographique d’un insomniaque de Matthieu Jocelyn POUGALAN
Matthieu, votre livre : « Un ou deux jours à Concarneau » de quoi s’agit-il ?
Après « La terrasse intérieure », « Témoignage autobiographique d’un insomniaque ». En laissant s’effacer le « Je » au profit du « Il », j’ai décidé de vous embarquer dans un roman écrit à Concarneau : « Un ou deux jours à Concarneau ».
Je ne sais si je peux le qualifier de fiction, me définissant comme telle, mais je le considère valeur de connaissance. Dans « Un ou deux jours à Concarneau », Concarneau est une ville très technologique sous l’emprise d’un déploiement d’infrastructures performantes où la frénésie dévastatrice des avancées technologiques génère une division, avec une influence constante sur les orages toujours présents. Les Concarnois se sentent déconsidérés par cette technologie et s’en trouvaient submergés.
Le personnage principal tombe amoureux de Clara ; une jeune femme venant d’un autre univers. Clara et Matthieu vont apprendre à évoluer dans une ville à la dérive devenue très complexe. Leur intervention allait résoudre ce désarroi mais ils seront confrontés à une découverte terrifiante.
Une suite est-elle prévue ?
Oui, mais dans un autre univers.
Je vous tiendrai informé ; je continue à coopérer avec Copy-Media car être en relation avec Monsieur Tristan m’est nécessaire. Nous avons dépassé les milliers d’impressions du conte philosophique : « La terrasse intérieure », les nombreuses interactions des lecteurs concernant cet ouvrage me procure une grande joie.
Je me permets d’ajouter que je suis heureux que mes livres soient indissociables de cette belle région.
Pour entrer en relation avec Matthieu Jocelyn POUGALAN, il est envisageable de le contacter à son adresse parisienne :
16, Rue de l’Université_75007 Paris
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