Son impertinence Henri François de vasse seigneur d’azay le rideau sous Louis XIV
GRIPON Monique - 2009-04-09
L’homme qui fait renaître les connaissances perdues, ce qui est presque plus difficile que de leur donner vie, celui-là édifie une chose immortelle et sacrée et sert non seulement une province mais tous les peuples et toutes les générations.
Témoignage de l'auteur
Écrire un livre c’est se faire plaisir avant tout mais c’est aussi parfois aller au-delà. Ce plaisir peut alors être partagé par la famille, les amis mais aussi par des inconnus. L’auteur y laisse un peu son âme. C’est pourquoi, j’ai accueilli avec joie la possibilité d’imprimer l’ouvrage moi-même, ne pas laisser ce soin à une personne uniquement animée d’intentions mercantiles. On doit aimer un livre, pouvoir le palper, le ranger, le prêter, le relire quand le moment s’y prête. Un livre c’est comme un ami, nous n’aimons pas qu’il soit loin de nous. Comment accepter qu’il soit rejeté ? Dans ce cas nous en prenons soin, nous le suivons pas à pas et s’il doit s’envoler loin de nous, que cela ne soit pas n’importe où et avec n’importe qui. Comment accepter qu’il passe au pilon ? Comment un auteur peut-il supporter cette destruction ? Lui, qui l’a mis au monde jour après jour ! Prenons nos plumes et avec Copy-Media continuons à aimer nos livres.