« …Combien de fois ai-je attendu qu’elle s’endorme pour la mitrailler avec mon nouvel appareil photo destiné à ce seul usage ? Et je garde encore aujourd’hui des dizaines de photos de ventres lisses, de seins débordants, de cambrures enveloppées de grossières culottes de coton qui devenaient, sournoisement, à mesure que je la photographiais, de subtils revêtements dentelés, fruits incontestés de mon imagination et de mon excitation. Je la surveillais sans cesse, dans l’espoir de ne pas rater le moment où elle se déshabillerait, pour apercevoir ne serait-ce qu’une infime parcelle de cette peau sapotille et dorée… »
Pour mon premier livre en auto-édition, j’avais envie que tout soit « parfait ». Lorsque je suis arrivée au stade de l’édition, je méconnaissais encore pas mal de points techniques et d’obligations...