Ce livre est, tout simplement, la grosse colère d’un Français qui, ayant vécu dans les pays arabes, ne supporte plus qu’à chaque nouvel attentat islamiste, à chaque crime commis au nom de l’islam, nous ayons droit, sur les plateaux de télévision, aux gémissements habituels : « L’islam ce n’est pas cela », « ne confondez pas islam et islamisme », « Pas en mon nom » et le désormais célèbre « Surtout pas d’amalgame ». Il est pourtant temps de reconnaître que l’islam, c’est l’islamisme au repos, et l’islamisme, c’est l’islam en action, comme l’écrit si bien le poète kabyle Ferhat Mehenni. Depuis quatorze siècles, l’islam fait la guerre à tout ce qui n’est pas musulman et par tous les moyens. C’est un ordre impératif du Coran, sa première obligation incontournable en tout temps et en tout lieu. Quand l’islam est faible, il utilise la ruse, la dissimulation, le mensonge et le grignotage sous toutes ses formes pour faire avancer son idéologie conquérante. Quand il se sent en position dominante il passe alors à l’offensive, avec toute la barbarie que les textes sacrés autorisent à ses guerriers. On ne peut donc que s’interroger sur les prétendus musulmans modérés. S’ils demeurent musulmans, c’est en toute logique qu’ils sont d’accord avec le Coran, et ce qui est écrit dans ce livre est clair. S’ils n’étaient pas d’accord avec son message de haine et de conquête, ils ne se qualifieraient plus de musulmans, ils deviendraient apostats. Donc, lorsque les musulmans affirment que leur l’islam est une religion d’amour, de tolérance et de paix, pervertie pas quelques extrémistes, ils nous mentent. Né au Maroc, Hubert Hermel, fait son service militaire en Algérie. A son retour il passe un an en Israël. Ensuite, après quelques mois au Liban, il continue sa route vers la Jordanie, la Syrie, l’Irak, l’Iran et la Turquie. Sa vie de voyageur s’est ensuite partagée essentiellement entre la France, l’Inde et les Etats-Unis.