Lorsque Gaston Morineau (1898-1986) rédige ses mémoires, il s’appuie sur une documentation patiemment conservée pour nous livrer un récit vivant et détaillé de ces bouleversements mondiaux tels qu’il les a vécus. Deux guerres furent le lot de cette génération, née à la fin du XIXe siècle, qui a eu tant à souffrir de ces conflits meurtriers. En 1918, il est un soldat de vingt ans et , en 1940, chef de bureau à la préfecture de l’Orne. Ses récits sont reproduits dans leur intégralité, abondamment illustrés et complétés par des textes apportant des précisions utiles à la compréhension et à la connaissance de cette époque, afin d’en porter le souvenir un peu plus loin dans le temps.
Ça commence par une recherche sur internet. Bien du mal à s’y retrouver parmi toutes les propositions d’impression d’un livre qui s’affichent sur mon ordinateur, et le mien, je ne veux pas en...