Le récit qui va suivre est une fiction. Nous sommes en 2025. Cependant la catastrophe écologique qui est le fond du récit est, elle, bien réelle et nul ne peut en prévoir les résultats à long terme. Le profit dans une société ultralibérale conduit à des aberrations qui font que des fabricants de produits chimiques mettent en condition les cultivateurs, par ailleurs endettés, pour qu’ils ne se posent pas de questions sur ce qu’ils entreprennent, quelquefois au mépris de leur santé. Bref, on utilise des produits nocifs dont on attend les effets après vingt ans par le biais « d’experts » mandatés et rétribués par les vendeurs de ces mêmes produits. La planète s’empoisonne sournoisement. Dans mon histoire un ingénieur décide de pallier l’absence de pollinisateurs en les remplaçant par des insectes électroniques qui vont aller de fleur en fleur pour assurer la fructification, sans miel bien entendu.
Pour une première publication, j’ai cherché comme tout le monde sur le net. Foisons d’adresses et de commentaires. J’ai accroché avec COPY-MEDIA car l’entretien avec Tristan Pavon a produit un déclic intuitif. Le ré...