François Desmoulins a crée son entreprise de fabrique de carènes et de pièces de bateaux en bois dès la fin de la guerre, qu’il a baptisé « la Charpenterie ». Il a deux filles. L’aînée, Angèle 30 ans, est directrice commerciale dans l’entreprise, et Élise 20 ans, termine ses études au lycée Jehan Ango à Janval. L’entreprise marche bien jusqu’au jour ou un incendie ravage celle-ci. On apprend que la Charpenterie est au bord de la faillite et on retrouve un cadavre avec une balle dans la tête, en partie calciné dans les décombres, et qui se trouve être le frère du patron, disparu de la région quinze années plus tôt. Puis quelques jours plus tard, on retrouve en forêt d’Arques-la-Bataille près de Dieppe le cadavre du maire de Dieppe, Pierre Maret, tué lui aussi d’une balle dans la tête. L’affaire se complique quand on découvre que les deux balles proviennent du révolver de François Desmoulins. De vieux évènements datant de la dernière guerre vont alors remonter à la surface.
Sur mon chemin, j’ai rencontré une équipe formidable, celle de COPY-MEDIA. Si pour le texte et le titre j’avais ficelé mes idées, la confusion et l’incertitude régnaient pour la couverture. Elément clef pour l’accro...