Le soir, sa colère lui avait permis d’humilier Klervie. Il avait voulu briser cette image, briser cette tolérance muette et pleine de reproches qu’il rencontrait dans les regards fuyants des voisins ou dans les silences sous entendus de ses beaux parents. Il aurait tellement voulu que Klervie les assume moins, ses actes, qu’elle se plaigne, qu’elle soit moins forte, plus vulnérable, qu’elle place les enfants en nourrice, qu’il se sente moins incapable à côté d’elle, qu’il soit un peu plus souvent seul, avec elle. Qu’il soit un homme. Pas un mauvais père. Pas un mauvais mari. Juste un homme. Non, s’excuser n’aurait pas eu de sens à l’époque. Les cartes avaient été posées, les jeux étaient faits.
J’ai eu recours à Copy-Média pour faire éditer mon livre en 2011.
Les contacts avec monsieur Pavon ont tout de suite été très constructifs, rapides, et efficaces. La confection de la couverture, très réu...