Il faut s’autoriser à « détester » sa ville, pour savoir mieux l’aimer. Pour mieux l’aider à grandir. Natif de Givors, (le lecteur s’en apercevra vite !) l’auteur raconte… et se raconte à travers ses souvenirs personnels et professionnels. Ayant quitté, en mai 2010, le groupe de presse pour lequel il travaillait depuis 1980, avec dix années de chef d’agence et d’édition dans « sa » ville, Patrick Veyrand, qui planche sur d’autres projets, a tourné la page de la presse quotidienne régionale. Pas celle de l’écriture…
Il est vrai qu’écrire un livre n’est pas une finalité en soi. Une fois écrit il manque le plus important : le faire imprimer!Pour une première j’ai tout simplement écouté le conseil d’un ami ...