À l’arrière, tout reste calme, à part, bien sûr, comme toujours, ces animaux bizarres voire étrangoîdes en costard cravate à la gueule souquée qui gesticulent difficilement parmi les poubelles éparpillées par-ci et par-là, comme-ci et comme-ça, se faisant une place entre leurs relevés de comptes précaires et autres pap’rasseries zadministratives, maintenant, et depuis peu, inutiles et obsolètes, croupissantes et putréfiées.
Bonjour Nicolas, Bonjour Florence, Nos relations pour l’impression du livre édité par mon association ont été si cordiales que je me permets d’utiliser vos prénoms. Cette cordialité n’a aucunement nuit à votre profe...