L’auteur de cet ouvrage est né en 1953 à la Fontié, hameau de la commune de Busque, où certains de ses ancêtres étaient paysans, au moins à partir de 1575. Il fait une approche distanciée de l’histoire de cette commune, livrant aussi quelques souvenirs personnels. « Avec une patience et une opiniâtreté de fourmi, mais une jubilation de… cigale, Jean-François Roucou a compulsé archives et dossiers, interrogé les plus anciens natifs de Busque, peut-être aussi les arbres et les chemins : il a fait un livre sur Busque. Et si cette mémoire vivante, l’épaisseur de vie de nos prédécesseurs, nous donnait un appui pour exister à la place qui est la nôtre ? », déclare la Buscole Nadine Bonleux. Les Ie et IIe siècles offrent un aperçu de la partie Sud Est de Busque, avec les fouilles gallo-romaines de Valéry. Busque est cité pour la première fois au XIIIe siècle. La fin du XVIe et le début du XVIIe siècle constituent une période singulière avec le déroulement de trois activités concomitantes inédites : l’accueil d’une vingtaine d’aveugles venus de plusieurs régions du Sud de la France, la présence de violonistes, celle enfin de « puatiers » (fabricants de peignes pour métiers à tisser à base de roseaux), dont « Busque est en 1750 le chef-lieu de fabrication pour le diocèse d’Albi ». […]
Je recherchais sur internet un imprimeur français (j’y tiens !) capable de fabriquer un roman historique de plus de 500 pages incluant de nombreuses illustrations. Bien sûr, mon critère de sélection numéro 1 a été l...