Ce livre original plonge dans l’heuristique, dieu, l’amour de la vie, les grands philosophes, CHOMSKY, NIETZSCHE, PLATON et SPINOZA, sans prendre l’apparat universitaire. L’auteur asseoit son propos sur une multitude de sujets, notamment le problème du temps, de l’Europe, de l’origine de la langue, de la musique de SCHUMANN, du Maréchal NEY, du tragique d’Othello, de la joaillerie française, tout y passe. Beaucoup de ses interrogations semblent indiscutables, le doute de l’esprit, l’humour des situations, la présence ou l’absence d’un dieu vaincu par lui-même, la mesure de ce qui n’est pas mesurable, la falsification de toute théorie scientifique traduisent cette maïeutique en action. D’autres sont tout à fait novatrices : par le renversement systématique du sens des mots, il pointe le mensonge généralisé de la propagande, comme dans la guerre froide ; il dénonce avec des révélations surprenantes l’industrie du mensonge historique et les écarts à la vérité qui sont une injure à sa valeur. Nous vivons dans un siècle d’apparence, d’images manipulées, de guerre de communication, dans le champ des ½ mensonges face à la résurgence des nouveaux ayatollahs, les fils spirituels des Maîtres de l’Inquisition que tous les européens gardent en mémoire dans leur inconscient collectif. Avec une érudition époustouflante, l’auteur passe en revue Shakespeare, les séfarades, Vérone, la surmédicalisation de la société, la croisade verte, les nouvelles religions de développement durable, par des interrogations successives, mode de transmission du savoir que cet essai utilise majoritairement. Ce livre est un moment THUCYDIDEEN, un rappel pour nous aider à comprendre la puissance du sens des mots et à confirmer que l’action doit être intelligente pour être morale Puissiez-vous à la fin de cette lecture vous poser la question du sens des mots, de leur usage, de leur capacité à nous guérir ou nous réparer afin de nous rendre acceptable et heureux le relativisme de nos vérités ? La question qui vous restera à la fin de cette lecture, sera évidemment celle-ci : L’auteur a-t-il réussi, vis-à-vis de son lecteur, à éviter d’imposer quel serait l’exact sens de ses mots à lui, afin d’initier cette recherche d’une méta-philosophie, d’une philosophie libre et neutre, enfin dégagé des à priori et des attendus ? La question se terminera invariablement par un point d’interrogation, la recherche de l’exactitude et de l’impartialité, grâce à l’intelligence appliquée à la compréhension du monde.
J’ai découvert COPY-MEDIA sur Internet par un moteur de recherche, j’ai eu de la chance. Les relations ont tout de suite été très conviviales. Après de longs efforts, je suis parvenu à fournir un fichier...